Le premier workshop en présentiel de TWA en Chine : un moment fort !

Le dimanche 23 mars 2025, TWA (Travel, Write & Analyse) a franchi une nouvelle étape de son aventure en organisant son tout premier workshop en présentiel à Putian, une ville côtière du sud-est de la Chine. Dans une ambiance chaleureuse et bienveillante, 5 femmes se sont réunies pour explorer ensemble les coulisses du mode de vie digital nomad et vivre une expérience d’écriture libératrice unique.

Un moment intime, suspendu entre introspection, partages sincères et élans d’inspiration collective.

Pourquoi un workshop en Chine ?

TWA, c’est avant tout une communauté en mouvement. Depuis sa création, l’entreprise accompagne les femmes qui rêvent de liberté géographique, d’aventures, de reconversion ou simplement d’un quotidien plus aligné avec leurs valeurs profondes. Et quoi de plus cohérent que de faire vivre ces valeurs en organisant des événements là où le vent (ou plutôt les projets) nous portent ?

C’est à Putian, où je séjournais temporairement en tant que digital nomad, que l’idée de ce premier atelier en présentiel a pris forme. La Chine n’est peut-être pas la première destination à laquelle on pense quand on parle de digital nomadisme mais c’est justement ça, l’esprit TWA : casser les codes, ouvrir les horizons, créer des ponts.

Un programme entre inspiration et introspection

De 15h à 18h30, le workshop s’est articulé autour de quatre temps forts, mêlant témoignages, échanges collectifs et pratiques d’écriture libératrice.

1. Déconstruire les clichés : ça ressemble à quoi, la vie de digital nomad ?

La première partie de l’atelier a permis de poser les bases. Qu’est-ce que le digital nomadisme, concrètement ? À quoi ressemble le quotidien quand on travaille à distance tout en voyageant ? Faut-il être freelance ? Est-ce qu’on vit vraiment les pieds dans le sable tous les jours ?

À travers un échange vivant, on a démystifié certains stéréotypes : non, ce n’est pas que du rêve Instagram. Mais non, ce n’est pas non plus un parcours réservé à une élite. Avec de la préparation, de la curiosité, une connexion internet fiable et un brin d’audace, il est possible de bâtir une vie nomade sur mesure.

2. Exemples de femmes inspirantes

Puis, place à l’inspiration concrète. J’ai partagé des extraits d’interviews issues du podcast Comme chez TWA, donnant la parole à plusieurs femmes nomades aux parcours variés :

  • Katrina, chanteuse lyrique et professeure de violon en ligne, digital nomad depuis 3 ans.
  • Sasha, cheffe nomade, qui sillonne les cuisines du monde entier et partage ses saveurs chinoises.
  • Nadine, breathwok facilitator qui travaille exclusivement en présentiel pour réaliser ses sessions et trouve ses clients selon les destinations où elle se rend.
  • Rebekah, qui a parcouru les Etats-Unis à bord de son van avec son petit bout de 2 ans 1/2.

Ces témoignages ont fait écho à de nombreuses interrogations dans le groupe : comment gérer l’isolement ? Quelles sont les peurs au départ ? Et surtout, quelles sont les surprises, les cadeaux cachés de ce choix de vie ?

3. Les bons et les mauvais côtés : un vrai talk sans filtre

Ce moment d’échange libre a sans doute été le plus puissant. Chacune a pu exprimer ses doutes, ses freins, ses envies. On a parlé :

  • de la pression sociale et familiale quand on sort du moule,

  • du syndrome de l’imposteur, toujours prêt à s’inviter dès qu’on change de voie,

  • de la charge mentale quand on travaille en voyageant,

  • mais aussi de la joie immense d’être libre, de se sentir vivante, d’oser se choisir.

Loin des discours tout faits, c’était un vrai cercle de parole, bienveillant et sans jugement. Des liens se sont tissés instantanément, dans une sororité douce et puissante.

4. Des exercices d’écriture libératrice pour avancer

La dernière partie de l’atelier a été dédiée à l’écriture, cœur battant de TWA. L’écriture libératrice n’est pas un simple outil : c’est une clé pour se (re)découvrir, pour nommer l’invisible, pour clarifier ce qu’on veut vraiment.

Premier exercice : écriture intuitive
Comme toujours, j’ai choisi de commencer la partie atelier d’écriture par un exercice d’écriture intuitive afin que chaque participante dépose ses émotions. Puis, je leur demandé de se poser la question suivante : quelle est ma plus grande par par rapport à la vie de digital nomad ?

Deuxième exercice : Ecrire une lettre à cette peur
Se confronter à ses peurs permet de les mettre à distance, de les affronter et de se confronter à soi-même : la meilleure manière de grandir et d’évoluer.

Une énergie collective et des projets en germe

À la fin du workshop, une chose était claire : quelque chose s’était activé.

Certaines sont reparties avec la décision de poser leurs premiers congés sabbatiques, d’autres avec l’envie de lancer un side project, ou de réserver un billet pour tester le travail en mobilité quelques semaines.

Une participante a même proposé d’organiser un deuxième atelier à Shenzhen. Et une autre a confié qu’elle n’avait jamais autant osé rêver à voix haute que pendant ces trois heures passées ensemble.

Ce qu’on retient de ce premier workshop TWA en présentiel

  • Que le digital nomadisme n’est pas une destination figée, mais un chemin personnel à construire à son rythme.

  • Que les mots peuvent ouvrir des portes intérieures aussi puissantes qu’un visa pour l’étranger.

  • Que créer du lien, même à l’autre bout du monde, est plus simple qu’on ne le croit quand on partage des valeurs communes.

Ce premier atelier marque le début d’une nouvelle dimension pour TWA : celle des rencontres humaines, des ateliers nomades, des instants suspendus où écrire et rêver se mêlent pour mieux agir.

Et maintenant ?

D’autres ateliers en présentiel sont en préparation, notamment en Europe de l’Est, là où TWA continuera de poser ses valises temporairement dans les mois à venir.

Si vous aussi vous rêvez d’un mode de vie nomade, si vous avez besoin d’un coup de pouce, de clarté ou d’un petit vent de liberté : rejoignez l’aventure.

TWA, ce n’est pas juste un concept. C’est une invitation à reprendre le stylo… et la route.

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